les
hommes se regroupent chaque soire dés qu’ils achèvent le travail aux champs
en récitant des fragments d’Ahidous entre eux avant d’être devant un long
rang de femmes qui se rattachent avec les mains en répétant le refrain
de poème et les hommes tapent sur les tambours (egdman).
Alors le jeu d’Ahidous est accompli, les deux rangs se mettent à faire
des ronds sur une place destinée à cela autour d’une lampe à gaz devant
le public.
Les jeunes font des équipes dont chacune désigne un de ses membres pour
réciter une poème (ezle) en essayant d’émettre les mots d’amour ; les
vertus de sa propre région ; critiquant la situation sociale s’il le faut
; appel à toute chose qui revient d’avantage à la communauté comme la
solidarité ; la sincérité ; le fidélité...
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